La valve reglage du ralenti (ISC), aussi appelé valve ralenti (IAC), est utilisé dans le cadre de moteurs à injection de carburant pour contrôler la vitesse du ralenti. Le moteur pas à pas, sorte de valve ralenti, est composé d’un pivot pour bloquer ou permettre le passage de l’air dans le papillon. Le module de contrôle du groupe motopropulseur (PCM) régule le fonctionnement du moteur pas à pas.
Sans surprise, un IAC cassé se traduit souvent par des problèmes de ralenti du moteur. Un moteur ayant un ralenti trop rapide ou trop lent peut indiquer un IAC défectueux. Un moteur qui cale peut aussi indiquer des problèmes d’IAC.
La plupart du temps, s’il y a un problème avec l’IAC ou son circuit de contrôle, le PCM va indiquer un code de diagnostic de problèmes (DTC) et allumer la consigne “Vérifier le moteur” (CEL). Si la lampe est allumée, vous pouvez brancher un instrument de diagnostic dans le port prévu à cet effet sous la planche de bord et lire le code des erreurs répertoriées. Si le code indique un problème avec l’IAC ou ses circuits, le manuel de réparation spécifique au véhicule doit être consulté avant d’effectuer la suite des tests.
La manière de remplacer l’IAC varie d’un véhicule à l’autre, mais c’est assez simple dans la plupart des cas. Des informations spécifiques de réparation doivent être consultées avant que vous remplaciez votre IAC. Un échange classique d’IAC se déroule comme expliqué ci-après :
La sonde lambda (O2) avant (en amont) est une des données d’entrée clef du module de contrôle du groupe motopropulseur (PCM). Il surveille la teneur en oxygène dans les gaz d'échappement, et relaie cette information au PCM. Le PCM utilise ensuite cette information pour réguler de nombreuses données de sortie telles que le contrôle du carburant. La sonde lambda arrière (en aval) est utilisée uniquement pour surveiller l'efficacité du convertisseur catalytique.
Une sonde lambda défectueuse peut créer de nombreux problèmes, le plus fréquent étant une augmentation soudaine de la consommation en carburant et par conséquent une augmentation des émissions. Normalement, la lampe “Vérifier le moteur” (CEL) est allumée aussi. D’autres symptômes peuvent être (liste non exhaustive) : un changement dans la puissance et la réponse, un moteur qui fonctionne de manière irrégulière et une mauvaise qualité de ralenti.
En règle générale, s’il y a un problème avec la sonde lambda ou ses circuits, un code de diagnostic de problèmes (DTC) va être enregistré et la lampe “Vérifier le moteur” (CEL) s’allumera. Si la lampe est allumée, vous pouvez brancher un instrument de diagnostic dans le port prévu à cet effet sous la planche de bord et lire le code des erreurs répertoriées. Si le code renvoie à un problème lié à la sonde lambda ou à ses circuits, le capteur peut être confirmé défectueux en vérifiant sa réactivité grâce à un scanner ou un oscilloscope. S’il fonctionne correctement, la sonde lambda avant doit produire une sinusoïde au ralenti ayant des transitions rapides comprises entre 0.1 volts et 0.9 volts. Contrairement à la sonde lambda avant, le capteur arrière doit produire une droite d’un niveau constant montrant approximativement 0.45 volts si la sonde et le convertisseur catalytique fonctionnent correctement tous les deux.
Comme toujours, ce ne sont que des procédures générales de tests et un manuel de réparation spécifique au véhicule doit être consulté avant d’effectuer les tests.
La manière de remplacer une sonde lambda varie d’un véhicule à l’autre, mais c’est assez simple dans la plupart des cas. Des informations spécifiques de réparation doivent être consultées avant que vous remplaciez votre sonde lambda. Un échange classique de sonde lambda se déroule comme expliqué ci-après :
Débrancher le câble négatif de la batterie.
Débrancher le connecteur électrique de la sonde lambda
Retirer la sonde lambda en utilisant une clef anglaise, ou de préférence une douille spécifique aux sondes lambda.
Réinstaller dans l’ordre inverse du démontage
Les derniers modèles de moteurs à injection de carburant utilisent un capteur de position du papillon (TPS) dans le but d’informer le module de contrôle du groupe motopropulseur (PCM) au sujet du taux d’ouverture du papillon et de sa position. Le PCM utilise ensuite cette information pour contrôler de nombreuses données de sortie telles que le contrôle du carburant.
Un TPS défectueux peut créer de nombreux problèmes, le plus fréquent étant des hésitations ou des ratés en phase d’accélération. Normalement, la lampe “Vérifier le moteur” (CEL) est allumée aussi. D’autres symptômes peuvent être (liste non exhaustive) : un changement dans la puissance et la réponse, une augmentation des émissions, un moteur qui fonctionne de manière irrégulière et une mauvaise qualité de ralenti.
En règle générale, s’il y a un problème avec le TPS ou ses circuits, un code de diagnostic de problèmes (DTC) va être enregistré et la lampe “Vérifier le moteur” (CEL) s’allumera. Si la lampe est allumée, vous pouvez brancher un instrument de diagnostic dans le port prévu à cet effet sous la planche de bord et lire le code des erreurs répertoriées. Si le code indique un problème avec le TPS ou ses circuits, le manuel de réparation spécifique au véhicule doit être consulté avant d’effectuer la suite des tests.
La manière de remplacer un TPS varie d’un véhicule à l’autre, mais c’est assez simple dans la plupart des cas. Des informations spécifiques de réparation doivent être consultées avant que vous remplaciez votre TPS. Un échange classique de TPS se déroule comme expliqué ci-après :